Fatiha nous parle aussi d’éducation…

Fatiha, tunisienne, habite à l’Ariane, cela fait 40 ans qu’elle y est. “Aujourd’hui, les enfants ne vivent que par le téléphone, on a plus de vie sociale. C’est décevant, désolant. A notre époque, on a pas connu ça”. Selon elle, tout est dans l’éducation des enfants. A l’époque, il n’y avait rien, mais on se contentait de peu. Ma priorité était l’éducation des enfants, car la délinquance était à chaque coin de rue. Le quartier de l’Ariane est beaucoup plus animé par des associations aujourd’hui. L’éducation reste primordiale.